Association URAL FRANCE - Forum

onra a écrit : ↑24 oct. 2020 19:04 Merci, j'essaie encore une fois.



Quand j'en arrive là, que dois-je faire ?

onra a écrit : ↑09 nov. 2020 12:06 On roupille sur ce forum : est-ce ce con finement chiant ; est-ce l'érection molle de BIDEN ?

Bon, pour vous distraire un peu, voici quelques photographies du remontage de ma Z22C.

Machine luxueuse en 1954, elle est difficile à restaurer à cause de sa rareté et de sa complexité.



En effet, Monsieur MOTOBECANE a rajouté une pompe à huile avec un filtre volumineux pour améliorer peut-être la lubrification
mais sûrement la fragilité de l'ensemble.



La pompe stocke la merde au niveau de ses engrenages ce qui bloque sa rotation et usine sa vis d’entraînement qui prend sur le bout du vilebrequin.



Sur les deux moteurs en ma possession un seul conserve une pompe utilisable, laquelle aspire de toutes façons au repos puisqu'elle ne propulse que 0.20 litre à la minute.
Bref , on peut s'en passer mais il faut changer le carter dédié.



Encore quelques réglages et remontage sur la partie cycle . Je vous montrerais la machine une fois démarrée, cela risque de prendre un peu de temps.

Bon, pour les photos, j'ai fait comme me le dit Bernie, mais ça ne marche pas . Damned!

Mais si je peux vous donner un conseil, si vous trouvez une Z 22 C évitez d'actionner le kick avant d'avoir sorti le carter d'embrayage , ça laissera la transmission de la pompe en état après nettoyage.

onra a écrit : ↑30 nov. 2020 18:31 Salut à tous, la suite des mésaventures de la Z22C.

Grâce à l'intelligence de mon ami Alain nous sommes parvenus à démonter la pompe à huile de cette machine : pas facile mais tout est démonté en nous pouvons espérer
qu'elle fonctionne un jour.





Que voit-on ? Le pignon mené est très rogné parce que la pompe est restée bloquée pendant 40 années dans une huile pleine de crasse, et les engrenages étant tout en bas, un simple coup de kick a chiffonné ses jolies cannelures.

Si quelqu’un en connaît un en meilleur état, je suis preneur à prix d'or bien sûr!

Mais il me reste d'ici là, deux jantes neuves à rayonner sur les moyeux d'une seconde épave qui curieusement sont très sales mais dont les roulements sont en parfait état.

Voilà où j'en suis de cette remise en route. La suite plus tard. (Je ne parviens toujours pas à installer mes photographies que j'ai pourtant réduites en poids.)