Pourquoi être ambassadeur Ural
Publié : 07 nov. 2015 15:37
Depuis bientôt 40 ans, nous roulons en side-car, au début avec la Guzzi et les enfants (4 et 7 ans) dans le Gep puis Guzzi et DBS, Yamaha 900 Diversion+Kyrnos et enfin en 2004, celle dont on rêvait : le URAL Ranger !
Hé là changement ! À nous les petites routes, la campagne profondes. Même plus peur des radars…
Faire les courses demande un peu plus de temps, car il faut expliquer :
Cette moto n’est pas une copie de BMW, ni une « vieille » bien restaurée, c’est une moto Russe « moderne ».
Là les commentaires vont bon train, « si c’est russe c’est solide », d’autres ne nous croient pas et certains nous regardent en coin et de loin parce que forcément nous sommes communistes.
La plupart, tout de même, s’approchent et s’inquiètent pour nous : « comment faites vous pour les pièces ?». Une chose est sûre, personne n’est indifférent. Quelques fois il serait agréable de passer inaperçu…
Pourquoi j’aime rouler en Ural.
Cette moto n’est pas ordinaire, sa robustesse et sa relative faible consommation, nous permettent de renouer avec nos premières envies : se promener hors des routes touristiques et des villes animées.
Ralentir dans le petit matin parce qu’une famille de chevreuil traverse la route, prendre son repas du midi à la cantine scolaire d’un petit village des causses, baisser la tête pour éviter un faisan qui décolle… Les joies simples des voyageurs tranquilles.
Pour nous, pas de grands espaces nordiques, mais nous en rêvons au fil de nos petites escapades à deux.
Hé là changement ! À nous les petites routes, la campagne profondes. Même plus peur des radars…
Faire les courses demande un peu plus de temps, car il faut expliquer :
Cette moto n’est pas une copie de BMW, ni une « vieille » bien restaurée, c’est une moto Russe « moderne ».
Là les commentaires vont bon train, « si c’est russe c’est solide », d’autres ne nous croient pas et certains nous regardent en coin et de loin parce que forcément nous sommes communistes.
La plupart, tout de même, s’approchent et s’inquiètent pour nous : « comment faites vous pour les pièces ?». Une chose est sûre, personne n’est indifférent. Quelques fois il serait agréable de passer inaperçu…
Pourquoi j’aime rouler en Ural.
Cette moto n’est pas ordinaire, sa robustesse et sa relative faible consommation, nous permettent de renouer avec nos premières envies : se promener hors des routes touristiques et des villes animées.
Ralentir dans le petit matin parce qu’une famille de chevreuil traverse la route, prendre son repas du midi à la cantine scolaire d’un petit village des causses, baisser la tête pour éviter un faisan qui décolle… Les joies simples des voyageurs tranquilles.
Pour nous, pas de grands espaces nordiques, mais nous en rêvons au fil de nos petites escapades à deux.